samedi 6 octobre 2012

I've been everywere, Delaware...

Samedi 6 octobre


Réveil a 7:30. A notre réveille Gabrielle apperçoit le dernier bateau qui était à l'ancrage avec nous s'éloigner dans le soleil levant. 'vite, vite! la météo doit être bonne, tout les bateaux on quitté ce matin, vite il faut partir' s'exclame Gabrielle. Et elle a raison. Si tout les bateaux on quitté c'est que la météo est favorable. Avant la panne d'internet, j'avais vu que nous aurions un vent sud ouest aujourd'hui et une marée montante aide donc on part.
Par manque de jugement pour par énervement nous ne pensons pas a préparer nos voile pour la baie du Delaware. Alors une fois sortie du canal nous sommes acceuilli par les éléments. Vagues de 2 pieds, et vent du sud ouest soufflant 10 a 15 avec bourasque a 20. Je fait donc le 'deck monkey' et prépare 2 prises de ris dans la grande puis hisse ca. Nous faisons des pointes de 7.5 noeuds a voile et a moteur.
Nous essuyons beaucoup d'embrunt. Durant la première moitié de ma traversé, tout va assez bien et même qu'a un certain moment donné nous ouvrons plein génois et la ca planne! jusqu'a 9 noeuds a certain moment (marée montante, courant, vent et moteur...). Le vent est tellement chaud que j'en profite pour être torse nue.
Puis je me met a penser au 'crab pot'. En fin de compte, je me dis qu'il n'y en a pas tant que ça. C'est peut être parceque c'est samedi et que les pêcheurs on congés. Ont en voit quelques un mais jamais comme on le prétend.
Alors on se met a en voir un peu plus. De toute les couleurs. Vert fluo, rouge fluo, jaune, blanc. Et sa s'intensifie. La ont zig et ont zag pour les évité avec le vent les vagues et les embrunts. Je m'exclame 'merde un chance qu'ils les ont mis de couleurs voyante et pas bleue marin ou noir'.
Pis la comme je l'avais dis, il y en a des bleus et des noires. C'est 'to much'.
Et le slalom continu. A deux sur le pont pour les annoncées. midi, 10 heures, 2 heures....pendant quelques heures on joue au chat et a la souris avec tout de qui flotte. Même les goélands s'en mêle car on les prend pour des 'crabs pot, et on les évites. Ils doivents êtres mord de rire de nous voir les contournées. Tient, vla les touristes.


Au fur et a mesure que la baie rapetisse, les vagues diminuent. Nous approchons de Reedy island. Notre destination. Notre arrivé est prévu pour 14:30. Puis après discution avec mon amiral elle me dit que nous sommes tellement proche du canal que nous devrions y entrer. Je lui demande de me trouver une place a l'intérieur pour y dormir. Elle me dit que a mi-chemin il y a une baie qui pourra nous y abriter pour la nuit.
Donc en entre dans le Canal.

Vers 15:00 après midi, internet revient. Je vérifie la météo et grisaille jusqu'a lundi. Nous jetterons l'ancre pour 2 jours.
Nous arrivons dans une baie qui est sur toute les cartes de tout les bateaux de la région par un beau samedi soir. Plein a craqué. Gaby a même de la misère a passer entre deux bateaux. Les gens sont exaspérés de voir d'autres bateau arrivé et sorte sur le pont pour nous passer le message. D'autre mettre des défenses des deux côtés de leur bateau pour éviter qu'ont les touchent.
Au fond de la baie nous appercevont une feuille d'érable. Un conpatriote. Nous décidons de jeter l'ancre devant lui. Il s'avance sur le pont et me demande, en anglais, de nous avancé car il veut lui aussi s'avancé car il a peur de frapper le bateau derrière lui. En bon catholique je lui dit ok et le le voie qui se prépare a lever l'ancre. Mais la plus moyen de remettre l'ancre. Le fond ne retient pas mon anche qui est surdimensionner pour mon bateau. A mon avis le fond est en roche. Pendant ces manoeuvres un bateau va se placer devant les canadiens anglais. Il va probablement lui demandé la même chose, mais lui n'a pas été a la même église que moi et reste la ou il est. Alors je comprend le maudit anglais m'a bien eu il voulais juste pas avoir quelqu'un devant lui. Mais le Yankee la ignoré et a réussi a jeter son ancre. Je sais pas s'il me reste un missile scud dans la cale mais j'aimerais bien le torpillé...


Le temps avance et le soleil baisse sur l'horizon. Je décide de retourner sur mes pas pour aller à la marina que nous avons dépassé il y a environs 4 miles. Il fait tellement froid que j'ai ma tuque sur le dos et 3 épaisseur de vêtement pour me tenir au chaud.

Arrivé a la marina Summith north a 19:30. On accoste, formalité d'usage, souper léger, un peu de cinéma et dodo. Demain, c'est la grisaille, on reste au port.

1 commentaire:

caroline a dit…

ouin! un douze heures d'affilés bien fatiguant. y'aurait eu besoin d'un traducteur. dans le fond t'as bien fait de t'en aller. t'as peut-être évité des problèmes de collision.

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