voyage a Key West et le transport en commun

Mercredi 6 février.


Journée passé a Key West. Magasinage et tournée des bars. Hard rock, capitain Tony, Schooner warf, et tous les autres que je me souvien pas! Pour nous y rendre, nous avons pris le transport en commun, ma première expérience. Il s'est passé plus d'une heure d'attente car nous savions pas exactement a quelle heure elle passait.

Dans l'autobus nous faisons la rencontre d'un jeune homme qui cherche de l'attention. Alors tout est prétexte pour nous parler alors que nous ne cherchons ni a l'ignorer, ni a le rencontrer. Il insiste et pour ne pas être mal poli, j'embarque un peu dans son jeu jusqu'à ce qu'il débarque.

A notre retour, ah non, ah non! merde le même jeune homme embarque dans l'autobus et le chauffeur l'acceuil comme étant un passager régulier "Hi Gary!". Gary ne nous voit pas et s'assied quelques banc devant nous. Ouf!. Puis le trajet continu.

Plus tard, nous embarquons sur le pont de 7 miles, le dernier pont avant d'arrivé a Marathon. Nous sommes tous les deux fatigués et un peu chaud de notre virée. Et soudain le moteur de l'autobus a un raté puis deux et comme quelqu'un qui souffre d'asthme, l'autobus tousse intensément et sans arrêt jusqu'a bout de souffle et puis plus rien. l'autobus s'immobilise a la fin de la pente descente. L'autobus a...manqué de fuel! oui manqué de fuel sur le pont de 7 miles! I-N-C-R-O-Y-A-B-L-E! Ca peut juste arrivé dans les keys.

Les lumières s'allume dans le bus. Le voisin de droite est convaincu qu'il va perdre son job s'il arrive une fois de plus en retard. Gary fait un tour d'horizon puis la panique s'empare de lui. Il est tard, il est fatigue et il fait le tour de l'autobus pour demandé a quelqu'un de lui payer un taxi pour qu'il rentre chez lui car il est fatigué et il doit se coucher. Il me fait penser a 'rain man'! Il agit et parle comme dans le film. Pendant que nous attendons dans l'autobus que le shérif, la remorqueuse et l'autobus qui nous raccompagnera a la marina, Gary est a son meilleur. La tension monte car l'homme en retard doit contacter son patron pour l'aviser qu'il est encore en retard, Gary cherche quelqu'un pour lui tenir compagnie et nous nous faisons tout petit pendant que le chauffeur d'autobus nous raconte que ca arrive quelques fois par année. Soudain, Gary nous reconnait et s'en vient vers nous d'un pas décidé comme un homme investi d'une mission, nous tenir compagnie. Il engage la convesation avec Caroline qui joue a un jeu sur sa tablette pour passer le temps. La conversation est brève, Caroline ne parle pas très bien anglais. Puis Gary joue au jeu de Caro sur la tablette de Caro. La, woh! ca va faire et Caro l'envoi paître, ferme la tablette et se braque sur son siège. L'homme parle a son patron qui ne semble pas croire l'histoire de l'autobus qui manque de fuel. Gary cuisine un autre passager. Moi pour ma part, je cherche du regard le gars qui a le flingue, qui va perdre la carte et tous nous descendre comme dans les films américain!

L'autre autobus arrive. La tension descend. Nous traversons vers l'autre autobus puis l'aventure se termine ainsi. De retour au bateau, nous somme épuisés. Grossse journée.